mercredi 20 novembre 2013

ENFIN, L'Automne Box est arrivée


Avec  un retard incroyable, l'Automne est arrivé ! Et ce presque deux mois après sa naissance officielle. Il est mignon le bout de Chou, il voulait rester en Eté.
Cependant, je n'ai pas attendu son absence pour me concocter thé, compotes de pommes, de coing bien au chaud dans mes couettes. Non, j'ai anticipé sur cet Automne qui commença tout doux et qui se refroidit bien vite de nos jours.
Et, c'est par une incroyable surprise que ma Little Box est arrivée ! Avec du retard, certes, mais arrivée quand même.
Rappelons le, pour les profanes, My Little Box est une petite boîte qui arrive tous les mois chez vous, vous apportez une touche de bonheur en plus.

Ce mois ci, dans la Little Automne Box, je me questionnais à propos du contenu. Certes les box d'Octobre sont toujours moins fournies que les suivantes, mais il fallait que Little Box relève le défi de l'année dernière. (La Little Cocoon Box avec le Bandeau <3 )


Le Voici : 

 Trois petits sachets de thé Les 2 Marmottes.
    Honnêtement, je suis une grande amatrice du Thé Damman, je n'ai pas encore goûté ceux ci, mais au vu du packaging trop mignoooooon, j'espère qu'ils seront délicieux !

Il y a aussi un Manchon tout doux pour mug frileux,  à mettre autour de mon mug. C'est intéressant, j'avais (comme pour le bandeau de Ma Little Cocoon Box) l'intention d'en faire un et voilà que Little Box répond à mes attentes ! Cependant, je reste un peu sur la couleur rouge. Mais c'est pour affronter les couleurs ternes de l'Hiver.



  Puis, La Box nous gâte avec un mug ! Il est vraiment très mignon, et pratique. Il remplacera mon mug Yves Rocher sans plus attendre !


Je passe maintenant aux produits de Beauté. C'est ce qui fonde d'ailleurs mon envie de continuer la Little Box mois après mois. Recevoir des Goodies que je ne penserai jamais acheter ni même changer, permet à cette  Box de se démarquer d'une Box beauté classique qui "balance" des produits de beauté sans rien derrière.




Tout commence avec l'IMMENSE pochon qui, je le précise a eu quelques maux quand à la fermeture.
 L'importance de cette boîte m'a surprise ! Un full size de  Weleda, un lait corps nourrissant à l'Argousier (16€) . Je vais le garder encore un peu, écoulant d'abord un lait nourrissant Garnier.  Mais cependant, je suis toujours impressionnée par les full size de Little Box, ce n'est jamais ce à quoi je m'attends ! Il me tarde vraiment de le tester. 

Notez Bien, on peut également apercevoir un échantillon de crème de douche de la même marque. De quoi m'impatienter encore plus!
Pour le reste de la Box, on retrouve un échantillon, et là, c'est le cas de le dire, du Mascara Benefit "They're Real !"  Je ne sais pas quoi en penser, je cherche encore le mascara parfait. Peut être me conviendra-t-il.

 Mais là, s'achève le spectacle: le produit de beauté My Little Box. Tous les mois, il y en a un, et ils sont tous géniaux. Ce mois ci, il s'agit d'un  Baume Cocoon Pean Veloutée My Little Beauty (12€)

Et là, je tombe amoureuse.

A l'ouverture du petit pot, c'est une senteur incroyablement douce qui s'empare de vous . Il sent bon le beurre de Karité, c'est doux, c'est rose pâle, très fille, très mignon. La senteur toute douce reste bien sur la peau, la peau est toute douce une fois le baume posé. Bref J'ADORE.




Cette  Box  m'a une nouvelle fois conquise, j'adore ce petit instant de bonheur quand je regarde la factrice mettre ce petit colis dans la boîte aux lettres pour ensuite le quérir avec mon plus grand sourire.




Notez Bien,

<3

mercredi 13 novembre 2013

Vous avez dit "Bizarre" ?


Ne vous est-il jamais arrivé de vous retrouver dans une grande salle comblée par le bruit ?

Fermez les yeux.Imaginez-vous être dans une salle blanche avec des bouches accrochées.
Des rondes, pulpeuses, fines, des sèches, humides, craquelées, gercées, ensanglantées, dégoulinantes de salives, de biscuits secs, de bave.
 Et puis imaginez des voix : dures, autoritaires, sanglotantes, fines, fluettes, sombres et graves, innocentes, ponctuées, monocordes, des murmures, des cris, des soupirs, des râles, des raclements de gorge.
Et puis des cris ; stridents, rauque, d'agonie, de tristesse, de colère, de rage; de bonheur, de soulagement, d’inquiétude, de douleur, des cris de petites souris.
Et puis des petits bruits ; des pas, des pas de souris, des pas de géants, des pas sourds, appuyés, des pas discret déplaçant la poussière, des pas glissant, des pas dansant, des pas sautés, chat perché, touché !
Et des mains ; des mains qui claquent d'autres mains, des mains qui claquent d'autres joues, d'autres fesses. Des mains qui apaisent d'autres visages, des mains qui soignent, qui rassurent, fissurent, éclatent, brûlent, grattent. Des mains douces, travaillées, rugueuses, grasses, écorchées et pâles.
Et au milieu de tout ça, imaginez vous.
 Au milieu de cette pièce blanche.
Puis imaginez ces bouches s'agiter de haut en bas, de gauche à droite, en diagonales, tiraillées par les sons qui les déforment, déformées par les sons qui les tiraillent. Elles s'agitent, s'agitent, se meuvent, se tordent s'assoupissent, se déforment, grandissent, rapetissent et soudain !
 Rien. Le néant. Plus rien.

Réveillez-vous.
Regardez à coté de vous. Un petit garçon blond avec de grand yeux bleus vous regarde. Il se demande sans doute pourquoi vous êtes restés les yeux fermés durant tout ce temps.
Vous lui rendez un sourire amical, il rougit et s'en va.


N.B.
<3

jeudi 31 octobre 2013

Pluie, Pluie, que j'aime ta couleur de pluie.

PLUIE.
Oui, Pluie.
 Tu as bercé mon enfance, tu continues de faire partie de ma vie.
 Non, l’Angleterre  tu n'est pas ma patrie,  mais tu me toises,  à 30 kilomètre de là !
Oui, Angleterre ! Terre des Angles (Mathématiques, tout ça ! (ou bien historique...)), tu continues à te débarrasser de tes pluies en les envoyant dans le pays où siégea le roi avec la plus longue durée de règne ! 
Et oui, Angleterre ! Notre Louis XIV a régné bien plus  longtemps que la reine Victorieuse !

Mais Angleterre, il me tarde de traverser la mer pour te rejoindre et te revoir...
 Ne crois-tu pas que tes petits pois vert printemps et tes carottes oranges me manquent ? Que ton British Musuem ne m'a comblée? Que ton métro m'a effrayé ? Même perdue et seule, tu as su me préserver, m'orienter vers ma maisonnée. Et Covent-Garden ? Voir cet anglais jongler avec des tronçonneuses en pleine afternoon, puis  l'autre nous apostropher d'"étranger-français-mangeur-de-grenouilles".  Traverser sans regarder les passages cloutés au risque de nous faire transpercer par un taxi énervé, installer dans un parc une couverture tartan et dégustant un flan, rencontrer un écureuil, laisser son portefeuille sur les herbes folles, croiser un rossignol, et devant Buckingham apercevoir l'Union Jack, sauter dans une flaque...




 Ah, Angleterre, j’abhorre ta pluie, mais adore tes prairies.




N.B.
Home Sweet Home.

dimanche 27 octobre 2013

PARC DE JEUX #1



Comme tous les matins, il m'arrive de traverser mon jardin pour aller de plus en plus loin :
le parc de jeux. Véritable aire de repos pour parents ; liberté pour les enfants,  on y trouve de jolies choses :


UN OISEAU :
" Je viens de remarquer les allées et venues d'un oiseau entre le sol et l'arbre. 
Il a une brindille dans son bec! et deux et trois autres ! Il construit son nid ! 
Je n'avais jamais vu cela ! Je précise, c'est une tourterelle rosée."



UNE SUPER CACHETTE :
" Je me balade entre les pins, et oh ! C'est une super cachette ! Des pins, placés en rond qui offre une clairière tamisée.  Ils faudrait que les branches grandissent encore et cela serait parfait ! Un petit rondin de bois comme tabouret, pas de plastique ! 
BE ECOLOGIC.
Y-a-t-il des nids ? 




CURIEUSE DÉCOUVERTE :

"Mon Dieu, qu'est-ce-que.. ? Une bouteille de champagne !  Arrêtez de jeter vos bouteilles dans la nature ! Et surtout ici !Dans un parc pour enfants ! Est-elle vide ? Pas du tout ! Il en reste encore! Il ont gâché du champagne. Il devait vraiment être mauvais !

 Je ne sais pas ce qu'ils fêtaient...






N.B. 
love # leparcdejeuxpourenfants.

mercredi 23 octobre 2013

PEUR

Salutations, toi qui m'écoute.
Nous sommes le... veux-tu vraiment le savoir  ? Nous sommes en Octobre, cela est certain !
Comment je flippe. J'ai la frousse, une peur panique qui me prend du petit orteil gauche au petit orteil droit, remontant jusqu'au dernier cil de mes yeux.
Moi seule sait pourquoi, allez donc savoir de quoi je parle.
Cette sensation est tellement horrible.
AVOIR PEUR.
C'est un mélange de culpabilité et ... d'appréhension. Enfin, dire "J'ai Peur." C'est la reconnaissance de notre culpabilité. Avoir peur ça n'est pas naturel, c'est vraiment une sensation bizarre, On sait qu'on est coupable, mais on ne l'est pas vraiment. (C'est là donc une défaillance de la conscience) J'ai peur, je ne sais pas, qu'une branche d'arbre me tombe sur la tête, ou autre chose encore plus farfelues étant donnée qu'aucune branche ne se trouve au dessus de moi.  Mais, coupable d'avoir pensé que ça pouvait arriver, alors ça pourrait se produire.
Mais qu'est-ce que ça la peur ?  Et là, en ce moment, j'ai peur. J'ai peur, oui, ne pensez pas que je vais vous le dire.
Tout est possible dans la peur.
Fondre en larmes (ce que j'ai fait.) , se raisonner, réfléchir pour essayer de trouver une solution à sa peur et enfin extérioriser.Entre deux crises de larmes, il m'est arrivé de prier. J'ai tout remis entre les mains de quelqu'un d'autre.
Bref, j'ai eu peur.
Annuler la peur en parlant du problème. Mais personne n'a conscience de la peur que j'ai en ce moment, personne ne la partage. Comment faire ? Ignorance totale... 

Mais quand j'ai peur, je prends conscience de toutes les choses qui font partie de ce mode, qui nous entoure, comme ce coin, là où je me trouve. Je le vois tous les jours depuis mon enfance, mais aujourd'hui il est encore plus beau.



N.B.

Enregistrement #1

samedi 19 octobre 2013

Brèves Littéraire.

 La Dame aux camélias,
                                                                   Alexandre Dumas fils

D'ordinaire,  j'aime lire des livres de l'Oeuvre immense  de Zola, cette Bête Humaine, cet Assomoir pour élèves avec La Joie de Vivre, qui tentent d'apprendre que Germinal est un mois du calendrier républicain, qu'ils soient dans le Ventre de Paris  ou accompagné de son Excellence Eugène Rougon. Mais, ils diront que c'est la Faute de l'abbé Mouret, et préféreront passer un moment de Rêve devant la Débâcle de L'Argent de la Fortune des Rougons qui se dépense Au Bonheur des Dames . De toutes façons, le meilleur des devoirs restera l'écriture d'une Page d'Amour, la meilleure de toute la Terre.

Mais là, inutile de vous dire que je suis tombée sous le charme de Mademoiselle Gautier et Monsieur Duval.
Ce livre, plein de passion, plein d'amour, m'a fait passé de sublimes heures. Je n'ai pas pu le dévorer d'une seule bouchée,  mais l'attente de savoir, de connaitre la réaction de Mademoiselle Gautier, de savoir pourquoi ces camélias changent de couleur, pourquoi il y en a tant sur une tombe, comment cet amour va se finir, va-t-il se finir, et l'Opéra, vous y avez pensé à l'Opéra ? 
A Jamais ce livre concurrence deux autres de mes livres favoris. (Je vous en parlerais prochainement)

Je vous offre un court résumé, histoire de vous donner l'envie de le dévorer :


"Il faut pourtant que je vous raconte cette histoire; vous en ferez un livre auquel on ne croira pas, mais qui sera peut-être intéressant à faire."

Dans le Paris des mondains de l'époque, le jeune monsieur Duval tombe amoureux de la mademoiselle Gautier. Rien de très original, certes. Mais mademoiselle est une reine de mode, une petite reine que tous les hommes rêveraient d'avoir à leur bras pour pavaner dans le tout Paris. Armand, s'il l'avait pour maîtresse, serait le plus heureux des hommes. Pas pour pavaner, non, il veut Marguerite Gautier, pour lui seul. Mais elle, comme la société de l'époque n'est que mirage, superficialité, rien n'est réel et constant, tout est passager. Armand va-t-il réussir à la séduire, comment vont-ils finir, pourquoi ? Et cette fin, une fin grandiose, les larmes qui montent, qui coulent, qui roulent et finissent par marquer votre peau. 


"Il faut pourtant que je vous raconte cette histoire; vous en ferez un livre auquel on ne croira pas, mais qui sera peut-être intéressant à faire."

Ce livre, c'est comme une comète, je l'ai dans la peau, je l'ai dans la tête. 

***

"Nous n'avons naturellement pas d'amis. Nous avons des amants égoïstes qui dépensent leur fortune non pas pour nous (...) mais pour leur vanité.
Pour ces gens-là, il faut que nous soyons gaies quand ils sont joyeux, bien portantes quand ils veulent souper, sceptiques comme ils le sont. Il nous est défendu d'avoir du coeur sous peines d'être huées et de ruiner notre crédit.
Nous ne nous appartenons plus. Nous ne sommes plus des êtres, mais des choses. Nous sommes les premières dans leur amour-propre, les dernières dans leur estime. Nous avons des amies mais ce sont des amies (...) des femmes jadis entretenues qui ont encore des goûts de dépense que leur âge ne leur permet plus. Alors elles deviennent nos amies ou plutôt nos commensales. Leur amitié va jusqu'à la servitude jamais jusqu'au désintéressement.Jamais elle ne vous donneront qu'un conseil lucratif. Peu leur importe que nous ayons dix amants de plus, pourvu qu'elles y gagnent des robes ou un bracelet."

***


Notez Bien, 
<3

mercredi 16 octobre 2013

Excusez moi, mes chers, mais ne nous oublions pas.

J'ai conscience que la conscience qui m'anime va parfois loin, très loin. Sacrebleu, l'ouverture d'un blog, et, par là même l'ouverture de ma conscience ça n'est pas rien.
J'ai hésité des dizaines, si ce n'est des milliers de fois. Le dernier article, peut vous sembler étrange, tant je m'emballe, mais je tiens à m'excusez.


Excusez moi, mes chers.

En effet, il a été écrit, il y a de cela très longtemps, où je n'étais qu'une jeune fille fraîchement sortie des études secondaires. Par nostalgie, j'ai voulu rendre hommage à cette fille que j'étais en gardant cet article intact. J'ai l'intention, je pense d'y raconter ma vie, et la nouvelle que j'envisage. Un nouveau "look", des études "boostées" au maximum, des instants de partages, des souvenirs, des réminiscences du passé et ma vie actuelle.
J'ai conscience de faire un énième blog où  quelqu'un parle de sa vie, de sa personne, un pur concentré d'égoïsme! Mais j'ai aussi envie de vous faire découvrir un aspect du monde qui nous entoure, mon monde. Nous ne sommes pas tous pareil, et souvent je me conforte dans l'idée que nous pouvons tous être Quelqu'un. Une personne à part entière.

J'ai l'impression de commencer très fort avec ce premier article, mais c'est parce que la pluie qui règne dehors m'exhorte à sortir quelque chose de moi à défaut de ma personne au dehors.

J'ai souvent pensé à la fille que je serais plus tard, cette femme, grande, sur talons, avec un blazer noir, les cheveux attachés et des dizaines de dossiers dans les bras.
Mais j'oublie souvent de regarder qui j'étais auparavant. Il est vrai que si vous ne me connaissiez pas avant, vous ne sentirai aucune différence, mais de ceux qui me connaisse vraiment, c'est à dire: moi, le changement est ahurissant.






N.B.

dimanche 13 octobre 2013

Un Blog ? Mais pourquoi n'y a-t-on pas pensé plus tôt ?


SACREBLEU, 

si je m'attendais à te voir ici !



J'ouvre un blog...


     Je ne pensais pas le faire un jour...
 C'est un sentiment étrange, j'ouvre l'intimité de ma conscience à la tarentule qui règne sur cette mer numérique. Un vent de folie et d'hallucination embrase soudainement mon esprit.
Mais que vais-je devenir ?
M'observe -telle, l'Araignée de la toile ?
Va t-elle me manger ?

Non, par pitié !

   Regarde moi, arachnide, moi, pauvre terrienne en détresse, ne vois-tu pas que je suis plus grande que toi ?
 Ne vois-tu pas que mon pouvoir dépasse le tien ?
 Ne vois-tu pas que mes congénères et moi, armés d'un journal (un VOGUE peut très bien faire l'affaire), nous sommes prêts à réduire tes tentacules en miettes ?
Prends garde Araignée, nous régnons sur la toile, désormais.

Et OUI !

Araignée, tu semblais nous terroriser, nous. Mais sache que tes paires de jambes ne te serviront plus à parcourir les murs blancs et sales de nos salles d'eaux. Ta fin est proche, Araignée. 
Oui, je t'ai eue.
Nous sommes les maîtres du monde, et nous déciderons de ton avenir.


Mon Dieu ...

J'ai ouvert un blog, je ne sais pas ce qu'il y aura dessus, mais je promet de fournir quelques lectures pour vous incessamment sous peu 
Avec toute mon amitié, 


Plage & Peinture commencent par la même lettre... 
Est-ce à dire que nous parlons des mêmes choses ?





N.B.

Post Scriptum :  J'adore les araignées, je déteste les tuer, je les fait courir sur  mes mains avant de les relâcher par la fenêtre qui donne sur le jardin.